Ave Tenebrae, le Wargame à papa!!!

Coucou mes p’tites patates minutieuses! Ave tenebrae, de François Marcela-Froideval et Olivier Ledroit, j’avais déjà écris un article ICI, mais après avoir de nouveau mené quelques batailles contre d’impudents larbins du Bien et de la Lumière, je dois reconnaître que mon côté nostalgeek s’épanche tendrement sur ces épouvantables pions en carton trop fin et cette carte pleine de plis! Ce jeu a clairement très mal vieillit, par contre en ouvrant de nouveau la boîte, j’ai été étonné de retrouver mes pions en bon ordre, et après des souvenirs de tourments ineffables et d’engueulades au-dessus d’un saladier de chips, finalement les règles s’avèrent plutôt simples… Bon oui d’accord, elles sont archi-simplistes et toujours mal fichues. N’empêche, le temps que chacun montre qui a le plus gros pion dans son armée, c’était bon de repartir positionner ces petits carrés cartonnés… Bouhou… Je veux mes figurines! Des décors! Des mesurettes de chez Litko!

Eh bien ma foi, nous nous sommes bien amusé! C’est un wargame dans sa forme la plus simpliste, avec des unités représentées par les habituels symboles militaires, forces d’attaque et de défense, capacités magiques et de déplacement. Tout fonctionne à la suprématie tactique, avec possibilité d’empiler certaines unités, et la magie compte pour beaucoup dans les stratégies de victoire. Les méchants ont un net avantage, tant sur la force de frappe que sur les pouvoirs magiques, les gentils ont… les templiers (oui, et c’est tout!). Je ne me souvenais pas par contre qu’il y avait autant de créatures surnaturelles, mais en effet, les dragons sont bien utiles, moins qu’une armée démoniaque, mais toujours plus qu’une horde de… rats. Enfin bref! Un bon retour aux sources du wargame pour moi, avec ces bonnes vieilles ruses militaires et ses références historiques un peu douteuses…