The OA, S01e08 « the invisible self »: Bon! Fin de cette mini-série Netflix, pour le moins perturbante, et qui pour ma part aura laissée un petit-arrière goût décevant. Attention hein, c’est très original, à tous les niveaux, et en particulier au niveau des personnages, où les « héros » nous sont vraiment présentés comme des individus ordinaires et très faillibles. Le mélange des genres fonctionne bien, même si tout l’aspect surnaturel me semble un peu survolé et artificiel. Malgré les défauts que j’y ai perçu, the OA (on ne peut même pas spoiler le titre, c’est dingue!) reste une série très originale et fréquemment touchante… Oui, Patate des ténèbres, mi-homme mimolette, le fléau de l’univers, à bien versé une petite larmichette, se demandant si Homer… Non pas lui… Non, pas lui non plus… Allez finalement s’en sortir. Par certains côtés, the OA me fait penser à Hemlock grove, par son traitement décalé de la structure des épisodes, son rythme singulier et ses personnages aux réactions déconcertantes, mais logiques finalement – bon je précise, il n’y a ni vampires ni garous (il ne pouvait pas faire la bande-son), mais le côté fantastique est bien là, étonnant et troublant.
Sense 8 Christmas special : Ah mais que cette série est magnifique! C’est un épisode de noël (et de 2h, ce qui est un beau cadeau!), donc les relations entre les personnages sont mises en avant, il y a cependant quelques séquences de combat, uniques à la thématique de cette série, et là c’est du très bon! Sur le plan émotionnel, les Wachowski et leur scénariste, J. Michael Strackzynski (le dieu des dieux du scénario, précisons-le encore), tapent fort, avec des séquences très fortes et touchantes… Oui, on voit une nouvelle scène d’amour entre les huit, et comme la précédente, c’est toujours aussi beau, bien que des crétins décérébrés (des mecs, des vrais) iront ricaner s’ils parviennent à visionner l’épisode jusque-là. Le message est beau, positif, et ce n’est pas juste ce Christmas special qui le porte, mais toute la saison 1. Alors oui, malheureusement de nos jours, cela va passer pour de la mièvrerie, que des inconnus se trouvent et soient heureux par le simple fait d’échanger un regard, un sourire, mais pour ma part, j’y crois – Pas aux sensates, tristement – C’est même la seule chose qui pourrait nous sauver, que l’on accepte simplement l’autre, sans crainte du regard des autres ou du jugement. Magnifique épisode donc!
deux séries récemment visionnées et appréciées, même si comme toi j’ai un peu de mal avec OA, surtout face à Prairie, qui ne m’a pas l’air très nette. Attendons la saison 2!
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the OA, j’ai décrochée au troisième épisode, trop ennuyeux 😦 Par contre le christmas special de Sense 8, c’est vraiment très beau… Huit dans les toilettes d’une boîte de nuit, je me demande si c’est possible tout de même!
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the OA, ouais, pas top en fait. Sense 8 excellent et tout comme toi pour le ressenti, mais avec la même interrogation que Sonia sur l’espace vital.
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j’ai pas pu the OA, trop chiant, avec en plus une histoire sans queue ni tête. Sense 8, c’est bien mieux, et trop Xmas spirit!
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Pour the OA, je me dis que tout va évoluer dans une saison 2. Sense 8, toujours au top!
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je crois bien que tu ai le seul à avoir apprécié the OA. Episode parfait pour Sense 8.
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