Hello mes p’tites patates bouquinophiles! Avec la sortie prochaine d’une série adaptée de son classique et terrifiant Fahrenheit 451, j’avais envie de relire quelques textes du très talentueux Ray Bradbury, et pour ce faire, quoi de mieux que ce parfait recueil de nouvelles, les machines à bonheur!
Pour celles et ceux qui connaissent les classiques de cet auteur, le style est bien là, se concentrant sur une vingtaine d’histoires dont les thématiques rappelleront ses œuvres majeures. On y retrouve donc des transitions de style, des genres divers, le tout souvent regroupés dans une même histoire. Attention cependant, l’ensemble des nouvelles n’est pas exclusivement tourné vers le fantastique ou la sf, mais cette diversité tombe plutôt bien à mes yeux, et permet de faire un tour plus large du talent de l’auteur, qui nous préfigure ici des textes plus longs. Par exemple, Presque la fin du monde fera fortement penser à Fahrenheit 451, ou Celui qui attend aura une saveur Chroniques martiennes.
Un très bon recueil de nouvelles, très différentes les unes des autres, très inégales en qualité et en intérêt, également. On décroche cependant difficilement de ces récits, qui se lisent ma foi plutôt rapidement, et on savoure de nombreuses répliques ou situations, ce qui est tout aussi important qu’une réflexion plus profonde sur une œuvre plus dense.
Ben pourquoi pas? On ne sait jamais un jour je pourrais être à court de lectures…
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Je préfère ces nouvelles aux romans, même si ses classiques sont nécessaires.
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Très bien pour débuter avec Ray.
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