Hello mes super-patates! Ce soir je vous couche quelques mots au sujet d’une mini-série en 12 épisodes, publiés par feu-Wildstorm, aujourd’hui rachetée par DC comics – qui en fait évidemment de la bouillasse – j’ai nommé, the Monarchy! Doselle Young au scénario, qui n’a pas fait grand chose d’autre à ma connaissance, et pléthore d’artistes aux crayons. Mais the Monarchy, cékoidonc?
Pour bien cerner la chose, il faut revenir un peu en arrière, au début des années 2000, quand la maison d’édition Wildstorm publie Stormwatch, et ensuite the Authority – et encore plus tard, Planetary, qui est comme chacun et chacune sait, le meilleur comic book de l’univers – Ces différentes séries, en plus de WildCAT et quelques autres, forment un univers cohérent, à base de réalités alternatives qui s’imbriquent entre elles et engendrent les classiques armaggedon mensuels, qu’affrontent des gens en collant moulant et coloré.
Dans the Monarchy, les anciens membres de Stormwatch Jackson King et Christine Trelane sont les variations locales de membres du Trône, une organisation agissant à travers toutes les réalités et affrontant des menaces à l’échelle du multivers du coin. La dernière en date se nomme Chimera, et après la destruction des 10 000 super-héros du Trône, il faut former un nouveau groupe.
L’histoire est plutôt classique dans son développement, mais comme souvent avec Wildstorm, ce sont les personnages qui sont développés plutôt loin des poncifs du genre, et comme dans Planetary, des thémes différents viennent s’entremêler pour former un récit original. On joue ici encore avec la notion de panthéon, un rassemblement d’êtres surpuissants, très au-delà des habituels héros et héroïnes de chez les écuries concurentes. Chimera est également un classique du méchant à la Wildstorm; Il s’agit de versions alternatives des membres d’Authority, guidés par les variations sauriennes de cette équipe.
Bon, graphiquement, ce n’est pas ce qui se faisait de mieux, même à l’époque! Le style amène une ambiance particulière, spécialement lorsque des atmosphères à la Stephen King sont mises en place, mais ce que j’ai vraiment apprécié dans the Monarchy, c’est la trame de fond, qui nous replonge dans le multivers Wildstorm, cette fois-ci puissance 10! Les concepts du Trône, des Weavers et même de Chimera sont originaux, et très bien amenés. Les multivers s’exploitent avec plus ou moins de bonheur depuis Moorcock, mais celui-ci à sa propre identité, et the Monarchy pousse à fond les idées développées dans les précédents titres comme Authority ou Planetary. Une série intéressante à découvrir!
NB: Le titre de l’article découle d’une référence à the Monarchy dans un autre titre, et qui voudrait que toute cette histoire soit en réalité un délire sous dose massive de LSD, induit par le Docteur, un membre de the Authority.
ET faut-il être sous une dose massive de LSD ou c’est l’impression finale qui nous reste ? 😉
Merci pour la découverte!
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un bon café est peut-être nécessaire 🙂
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OK! je vais m’en chercher un!!! 🙂
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ça pue un peu côté graphisme, pour l’histoire, j’en sais rien, mais c’est vraiment trop moche!
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C’est vrai que c’est ultra laid!
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