The immortal iron fist est une série du canadien Ed Brubaker, avec pas mal d’illustrateurs tout du long, mais principalement David Aja, qui nous offre ici une patte toute personnelle, qui à mes yeux y fait pour beaucoup dans le style impeccable de ce titre. Nous découvrons donc le prédécesseur de Daniel Rand au titre d’Iron fist, un type pourchassé par le Serpent d’acier et l’Hydra, qui remet le Livre du Poing de fer à Danny, qui comme nous découvre ainsi qu’il est le dernier représentant d’une longue lignée de protecteurs de K’un Lun, mais aussi qu’il doit participer à un mortal komb… à un tournoi l’opposant aux champions de six autres cités célestes, rivales de K’un Lun, est dont le prix serait un accès dimensionnel à la Terre. La série alterne une intrigue principale, centrée sur Daniel Rand et ses affrontements contre les seigneurs des autres cités célestes, leurs champions, Hydra… Bref, de l’ordinaire de super-héros, et des plongées dans le Temps pour nous montrer d’anciens détenteurs du poing de fer, comme Wu-Ao-Shi (the queen pirate of Pinghai bay#07), la première femme à manier ce puissant pouvoir. Cette alternance de rythme et de tonalité est bienvenue, avec des plongées à des époques intéressantes, et des Iron fists toujours bien tourmentés et intéressants. Autre gros point positif de cette série, l’introduction des autres champions des cités célestes, les Armes immortelles, des individus tout aussi puissants que Daniel Rand, et qui auront même droit chacun à une mini-série, et que l’on retrouvera par la suite en guests sur d’autres titres.
Je précise que la série s’est prolongée sur 27 numéros, et que comme souvent avec Iron fist, c’est du Marvel super-héroïque avec de la baston comme réponse à pratiquement toutes les situations, mais pas que; L’intrigue de ce Immortal iron fist introduit les cités célestes, rivales de K’un Lun, mais cette idée se développe de façon assez finaude, avec une ouverture sur pas mal de possibilités et de questionnement. Le final reste un peu accessoire, mais le cœur de cette série réside vraiment dans cette immersion temporelle et dimensionnelle. D’ailleurs, un Eisner award 2008 (la série date de 2007) récompense Immortal iron fist et son auteur.
Et Matt Fraction alors? C’est du glaoui?
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Je vais découvrir ce héros avec la série Netflix, je pense.
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J’avais bien aimé le style graphique, et ce côté Tarantino pour certaines scènes de combat entre champions.
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Aurons-nous une bromance avec Luke Cage? ^^
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Le mec qui oublie Fraction… trop pas fort en math!
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j’avais détestée le voir se faire torturer dans GoT!!!
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Ah, donc en mieux que la série! 🙂
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En général, les comic books Marvel ou DC sont très légers, mais celui-ci est en effet plus riche que la saison 1.
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C’est bien la baston en réponse à n’importe quel situation, ça évite les questionnement trop intellectuel. Je suis vilaine mais je ne lis pas marvel. Moi être une amoureuse de DC
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Je t’avoue que je n’achète plus de titres des big two (Marvel/ DC) depuis longtemps, je préfère nettement la production des petits éditeurs, qui proposent des choses bien plus intéressantes.
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Pour DC je suis une immense fan des arcs Batman de Franck Miller et Scott Snyder. Sinon je lis aussi d’autres éditeurs, mais je ne suis pas une originale, mes comics de chevet sont des gros succès, comme American Vampire et Locke and keys.
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C’est vrai que vu le résultat en série tv, mieux vaut rester sur le comic book!
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