Coucou mes p’tites patates! Bon, à la longue, vous allez finir par croire que je suis actionnaire chez Artipia games, car oui, voici donc encore un jeu de chez eux, comme Archon ou Among the stars! Là tout de suite, ce sont mes impressions sur the Pursuit of happiness que je vais partager avec vous. Il s’agit d’un jeu bien plus coloré que les précédents – oui, même plus que Archon! – et dont la thématique n’implique aucun vaisseau spatial ni ville assiégée. Dans Pursuit of happiness, nous allons… rechercher le bonheur! Ou plutôt nous allons essayer de l’attraper, en naissant avec quelques atouts, en passant au stade larvaire, adolescent, en développant nos premiers projets de vie – « j’veux un scooter » – puis en passant à l’âge adulte, où il nous faudra éventuellement trouver un job, ou pas, rencontrer des partenaires, ou pas, et acheter pleins d’objets! Puis viendra la vieillesse, et la mort! Voilà, simple!
Je passe sur la mécanique de jeu, archi-simple à saisir car déjà vue à peu près partout. C’est du placement d’ouvrier tout ce qu’il y a de plus classique, à savoir d’ailleurs qu’on ne peut pas se bloquer entre nous, par contre nous pouvons nous nuire à nous-même! Le but du jeu va être de mourir en ayant eu le plus de bonheur possible dans notre vie, et pour cela, de nombreux moyens permettent de grapiller les précieux points, tout en essayant de retarder le plus possible les prises de stress. Avec l’âge, les choses s’accélèrent et la vieillerie réduit considérablement le nombre d’actions possibles. En ce sens, la thématique est super bien rendue, et si le jeu ne plonge pas à fond dans les nombreuses sources de bonheur non consuméristes, ma foi, les cartes de projets et d’objets font très souvent sourire et permettent de se constituer des vies plutôt amusantes.
Les auteurs David Chircop et Adrian Abela sont appuyés par le poids lourd de chez Artipia games, Vangelis Bagiartakis, et ils offrent à eux trois un jeu très plaisant, qui à défaut d’être original dans sa mécanique, propose un thème inédit et très bien rendu, ce qui est souvent le cas avec les jeux proposés par cet éditeur. Les illustrations, très cartoon, sont de Panayiotis Lyris, qui a déjà travaillé sur un petit jeu Artipia, Lap dance. Il faut également noter que la boîte de la seconde édition a été kickstartée et se voit donc bien remplie, avec en outre pas mal de petites extensions exclusives trouvables un peu partout, et proposant de nouveaux types de cartes. En bref, il y a un bon suivi, permettant d’accroître encore un peu plus la rejouabilité, que du bonheur donc!
Re-coucou mes p’tites patates ! Juste pour vous dire que le site Patate des ténèbres adhère au programme d’affiliation de la boutique Philibert. Libre à vous de cliquer sur le petit panier ci-dessous, qui vous mènera directement sur ce jeu. C’est rapide et surtout, cela permettra à une petite patate ténébreuse d’obtenir une commission sur cet achat – de quoi lui payer un yacht – ce sera donc pratique pour vous, et bien urbain pour elle.
La Quête du bonheur – prix constaté : 39.90 euros
Il a l’air original en tout cas!
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ça fait mal aux yeux un peu, toutes les couleurs.
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j’y ai joué! C’est rare que je connaisse un des jeux que tu présentes! Pas mal du tout, mais j’espère qu’il y a des extensions, car après quelques parties, ont doit toujours retomber sur les mêmes cartes.
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la chaussette de noël était trop petite pour le mettre dedans, mais l’anniversaire du chéri arrivant bientôt, je vais imaginer que c’est le jeu qu’il veut plus que tout!
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Oui un très très bon jeu, les parties sont un peu trop longues malheureusement pour en faire plusieurs à la suite.
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