
Coucou mes p’tites patates colonisatrices! Allez, retour dans un lointain passé ludique, une époque reculée nommée 2006. Oui, il y avait déjà des jeux de société en ces temps jadis, et des pas mal du tout d’ailleurs – il suffit de voir les rééditions et re-thématisations – en voici un d’ailleurs, sorte de séquelle de Colons de Catane, un classique du jeu moderne, deux-trois mots donc, sur Elasund!
Klaus Teuber, monsieur Catane, nous offre ici une sorte de séquelle de sa vaste gamme à base de tuiles, de ressources à négocier et de jets de dés. C’est illustré par Tanja Donner, traduit par Filosofia. Elasund est ainsi le nom de la première cité que les fameux colons vont choisir de bâtir.

Là aussi, il faudra lancer les dés, attribuer des ressources arrivant dans le port, et nous pourrons ensuite construire des bâtiments, afin de participer au prestige de la cité, et surtout du nôtre, ériger un rempart ou un bout d’église, mettre une option de construction pour plus tard. Actions simples, mécaniques similaires à celles des Catanes plus classiques, Elasund se distingue par la possibilité de pouvoir écraser les bâtiments pour en mettre de plus intéressants. C’est donc un jeu un poil plus agressif que son ancêtre, sans pour autant être de la pur bagarre à coups de tuiles. Cet aspect reste cependant le principal attrait du jeu, qui autrement est en tout point d’un classicisme d’époque.
Depuis lors, une profusion de jeux ont reprit cette dynamique sur le plateau d’Elasund, qui s’adressera probablement un peu plus aux amoureux et amoureuses de la gamme Catane. Est-ce une pépite ludique? Non pas du tout, mais je me souviens de mes parties de ce jeu, des années après, car son ancêtre fut une belle expérience en son temps.

Catan je connais, et j’aime bien, celui-ci par contre, jamais entendu parler!
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Jamais entendu parlé.
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Il ne m’avait pas laissé un grand souvenir, mais c’était à l’époque où l’on découvrait catan.
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A l’époque de sa sortie, je n’en pouvais tellement plus de Catan que je lui ai pas donné sa chance. Le pauvre!
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